Post by Kromdar on Jun 23, 2006 0:29:05 GMT 1
J'ai lu un article tres drole sur un site (voici le lien : www.scifi-universe.com/fiche_actu.asp?id=4177 ), de plus, pensant environ 70 kg je vais donc ecrire une petite critique desfois que l'envie de boxer du realisateur a nanard me prenne s'il recommence un jour...voila donc une critique objective et sans concessions (ca serait dommage de se priver) de House of the Dead, le film:
L'histoire commence quand une bande de djeunes decident d'aller a une rave sur une ile deserte (on croirait sketch de Bigard mais non) et montent a bord du bateau du capitaine Spock (le sketch continue). Une fois sur place, ils decouvrent que la rave a tourné au massacre a cause d'un ancien alchimisto-sorcier qui a créé son armé de zombi : le massacre commence alors quand ils decouvrent que Spock est en faite un trafficant d'arme et qu'il a de quoi fournir un regiment entier.
Inutile de trop s'apesentir sur le scenario, il pourrait avoir été écrit sur un recto de ticket de metro coupé en deux (l'autre moitié ayant servit a ecrire celui de Alone in the dark, autre grande oeuvre de ce genial Uwe), allons donc voire du cotes de la realisation. Rappelons tout d'abord qu'il s'agit d'un film adapté d'un jeu vidéo de shoot a la premiere personne, c'est pour cela que je serais assez indulgent car le genre me semble difficile a adapter (Doom ayant aussi essayé sans plus de succes mais avec je tout de meme plus de budget). Cependant, il faudrait une indulgence sans limite pour pardonner les plans de combats a la limite du vomitif (il faut les voires pour le croire), specialement dans la scene finale ou meme le plus agueris des marins aurait le mal de mer, ainsi qu'aux dialogues (quoique ayant vu la version canadienne, je pense que l'on peut mettre une partie du ridicule sur le compte des expressions idiomatiques) et encore moins a la la gallerie de personnages tous plus grotesques les uns que les autres (je me tate pour descerner la palme a Liberty l'asiatique en combinaison aux couleurs du drapeau américain qui pique une tete dans une eau infesté de zombis ou au "bad guy" du film une sorte de Frankenstein venant d'une caravelle sombrée ay 16e siecle si j'ai bonne memoire). Bref, en un mot comme en cent, House of the dead est une sorte de chef d'oeuvre a sa facon ou l'on touche franchement le ridicule le plus intense et dont le seul merite du realisateur est d'avoir su mettre une fin a cette longue agonie cinématographique qu'on ne regardera sans rigoler ou sans regretter de n'avoir rien trouvé de mieux a faire.
L'histoire commence quand une bande de djeunes decident d'aller a une rave sur une ile deserte (on croirait sketch de Bigard mais non) et montent a bord du bateau du capitaine Spock (le sketch continue). Une fois sur place, ils decouvrent que la rave a tourné au massacre a cause d'un ancien alchimisto-sorcier qui a créé son armé de zombi : le massacre commence alors quand ils decouvrent que Spock est en faite un trafficant d'arme et qu'il a de quoi fournir un regiment entier.
Inutile de trop s'apesentir sur le scenario, il pourrait avoir été écrit sur un recto de ticket de metro coupé en deux (l'autre moitié ayant servit a ecrire celui de Alone in the dark, autre grande oeuvre de ce genial Uwe), allons donc voire du cotes de la realisation. Rappelons tout d'abord qu'il s'agit d'un film adapté d'un jeu vidéo de shoot a la premiere personne, c'est pour cela que je serais assez indulgent car le genre me semble difficile a adapter (Doom ayant aussi essayé sans plus de succes mais avec je tout de meme plus de budget). Cependant, il faudrait une indulgence sans limite pour pardonner les plans de combats a la limite du vomitif (il faut les voires pour le croire), specialement dans la scene finale ou meme le plus agueris des marins aurait le mal de mer, ainsi qu'aux dialogues (quoique ayant vu la version canadienne, je pense que l'on peut mettre une partie du ridicule sur le compte des expressions idiomatiques) et encore moins a la la gallerie de personnages tous plus grotesques les uns que les autres (je me tate pour descerner la palme a Liberty l'asiatique en combinaison aux couleurs du drapeau américain qui pique une tete dans une eau infesté de zombis ou au "bad guy" du film une sorte de Frankenstein venant d'une caravelle sombrée ay 16e siecle si j'ai bonne memoire). Bref, en un mot comme en cent, House of the dead est une sorte de chef d'oeuvre a sa facon ou l'on touche franchement le ridicule le plus intense et dont le seul merite du realisateur est d'avoir su mettre une fin a cette longue agonie cinématographique qu'on ne regardera sans rigoler ou sans regretter de n'avoir rien trouvé de mieux a faire.